De nouvelles semi-remorques pour absorber la croissance des trafics sur la Tunisie

Transuniverse engage désormais deux nouvelles semi-remorques fourgon à ses couleurs sur la Tunisie. Elles permettent de faire face à la croissance du trafic de et vers ce pays et complètent la capacité de AST, notre agent à Tunis. Grâce à notre propre matériel, nous pouvons mieux absorber les pics de trafic et garantir la régularité de nos départs.

AST dispose d’une flotte bien développée de semi-remorques fourgon adaptées au transport suspendu, qu’elle utilise également pour Transuniverse. Le trafic entre la Tunisie et l’Europe étant déséquilibré, il arrive que les semi-remorques doivent attendre quelques jours en Espagne, en France ou en Italie, le temps de trouver du fret de retour. Ces moments d’attente peuvent mettre sous pression la capacité disponible. De plus, les pics de demande provoquent parfois des engorgements.

« Comme nous sommes de plus en plus actifs sur ce marché et que les volumes augmentent constamment, nous devons être sûrs de disposer à tout moment d’une capacité suffisante. C’est pourquoi nous avons mis en service deux semi-remorques que nous louons chez TIP Trailers. En utilisant ces semi-remorques à nos couleurs, nous voulons non seulement compléter la flotte de notre agent AST, mais également accroître la visibilité de notre marque en Tunisie », explique Theo Timmerman, responsable du trafic Maghreb à Wondelgem.

« Les nouvelles semi-remorques sont du type ‘boxtrailer’ : elles offrent un volume de chargement de 90 m3. Dans ces véhicules, nous pouvons combiner le transport suspendu avec des marchandises palettisées », ajoute-t-il.

Transuniverse organise cinq à six départs par semaine vers la Tunisie. La cargaison – dans les deux sens – se compose principalement de produits textiles, tant suspendus qu’emballés. En outre, les envois de groupage comprennent également des produits industriels et des marchandises générales. « Avec les nouvelles semi-remorques, nous pouvons donc garantir à tout moment la régularité des départs et intégrer la flexibilité nécessaire pour pouvoir charger les différents types de fret », précise Theo Timmerman.

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